Sogestran

UN PARTENAIRE
SÛR ET PASSIONNÉ

    Carrières

    Notre politique ressources humaines

    Politique RH de Sogestran

    Notre politique ressources humaines

    Le succès du groupe Sogestran est lié aux compétences que les hommes et les femmes de l’entreprise déploient dans la mise en œuvre quotidienne de nos unités fluviales et maritimes, en France et dans le monde, au service de nos clients.

    • Apprentissage et formation continue sont par conséquent le premier fondement de notre politique RH, pour exploiter en toute sécurité nos bateaux aujourd’hui tout en imaginant ceux de demain.
    • Promotion interne et mobilité professionnelle en sont le deuxième fondement, pour répondre aux besoins de l’entreprise et aux aspirations de nos équipes.
      Le succès durable du groupe Sogestran tient au fait que, depuis sa création, le groupe a toujours su attirer les talents par cette politique de promotion interne soutenue qui a permis par exemple, au fil des années, à nombre de matelots de devenir capitaines dans notre métier fluvial.
    • L’engagement est le troisième fondement de notre politique RH : c’est une des valeurs importantes du groupe Sogestran, qui participe à notre vision.
      C’est surtout un défi collectif quotidien car, en effet, l’engagement ne se décrète pas mais se suscite. Il est le fruit du plaisir de travailler ensemble en toute sécurité, dans un environnement de qualité, d’écoute et de respect.

    La charte de management du groupe Sogestran

    Au sein du groupe Sogestran, nos managers ont écrit une charte de management pour susciter cet engagement. Cette charte reflète l’ambition humaine du groupe de poser les règles managériales qu’elle souhaite voir appliquer partout pour concrétiser ce plaisir de travailler ensemble :

    La charte de management du groupe Sogestran

    Des métiers de passionnés

    © Philippe Anessaut
    © Samuel Salamagnon
    © Samuel Salamagnon
    © Samuel Salamagnon
    © Samuel Salamagnon

    Photos © Philippe Anessaut, Samuel Salamagnon & Sogestran Group

    Rejoignez-nous !

    Le groupe Sogestran est composé de femmes et d’hommes engagés.
    Embarquez dans l’aventure !

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    Vous cherchez…

    • Un métier passionnant dans un cadre de travail unique, sans cesse en mouvement ;
    • Un travail en plein air ;
    • Des missions variées (conduite, mécanique, amarrage, entretien, guidage...) ;
    • Un métier qui offre autonomie et responsabilités ;
    • Un travail en équipe et une vie en communauté ;
    • Un métier où vous pourrez évoluer ;
    • Un métier qui participe à un transport responsable et durable ;
    • Des rythmes de travail intéressants (7 jours à bord / 7 jours à terre) ;

    … Rejoignez-nous !

    Fondé au Havre en 1948, le groupe Sogestran est le premier armateur fluvial français. Nous sommes aujourd’hui présents en France et en Europe. Nous naviguons sur la Seine, le Rhône, la Loire, le Rhin, le Danube...

    Le groupe Sogestran dispose également d’autres métiers : transport maritime, transport multimodal, services aux industries.

    Nos valeurs : Confiance, Agilité, Fierté, Engagement.

    Témoignages de navigants du transport fluvial :

    Les hommes et les femmes qui composent nos équipes fluviales sont passionnés : découvrez leurs métiers ci-dessous !

    Transport fluvial  /  Rudy - Premier capitaine, bassin de la Loire
    Rudy, premier capitaine


    Quelles sont tes principales missions ?

    Je suis principalement affecté sur le convoi de soutage constitué du pousseur Val d’Argoat couplé avec les barges Gwen et Du. Nous avitaillons les navires en escale dans le port de Nantes St-Nazaire en VLSFO (produit pétrolier).

    Pour ce faire, nous devons charger le produit à la raffinerie de Donges puis aller le livrer au navire dans le respect des règles de sécurité et de l’environnement.


    Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?

    Depuis que je suis dans la vie active, j’ai toujours été sur l’eau. Il me faut ce contact avec le fleuve ou la mer.

    Ce qui me plait, c’est que nous avons une activité diversifiée : quand nous n’avons pas d’activité de transport, nous faisons l’entretien des unités (mécanique, nettoyage, peinture…).


    Quelles sont les grandes étapes de ton parcours ?

    À 17 ans, j’ai commencé en tant que matelot marin pêcheur.

    À 21 ans, je suis passé patron marin pêcheur.

    À 28 ans, j’ai été embauché en CDD par un prestataire de CFT et j’ai ainsi commencé à travailler sur les convois charbonniers. Deux ans après, j’ai été embauché en CDI par CFT, en tant que matelot.

    Chez CFT, j’ai grimpé les échelons petit à petit. Entré en tant que matelot, je suis ensuite devenu matelot garde moteur, puis mécanicien à bord des unités.

    L’étape la plus importante a été de passer capitaine en avril 2023, à 46 ans.

    Témoignage publié en janvier 2024

    Le premier capitaine est responsable de l’unité qui lui est confiée et du personnel placé sous ses ordres pendant ses périodes embarquées.

    Transport fluvial  /  Antonin - Matelot timonier, bassin de la Seine
    Antonin, matelot timonier


    Quel poste occupes-tu ?

    J’occupe le poste de Timonier depuis le premier juin 2023. Je suis dans l’entreprise depuis 6 ans ½.


    Quelles sont tes principales missions ?

    J’assure le travail de matelot (amarrer, charger, décharger), j’effectue l’entretien et je conduis l’unité.

    J’ai aussi pour mission de remplir et compléter les différents documents de bord.


    Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?

    Ce que j’aime le plus dans mon métier, c’est de bouger, d’être en extérieur, de ne pas être derrière un bureau. C’est aussi que nous soyons autonomes sur notre unité.

    Le cadre de travail est également important : je vois tous les jours défiler les paysages de la Seine.


    Quelles sont les grandes étapes de ton parcours ?

    Ma famille exerce le métier de navigant depuis plusieurs générations.

    Dès l’âge de 6 ans, pendant les week-ends et les vacances, je montais sur les bateaux où travaillaient mon père et mon grand-père, et ça m’a tout de suite plu : j’aime les bateaux ainsi que le fait de voyager et d’être en binôme sur un bateau. J’ai donc rapidement su que je voulais en faire mon métier.

    J’ai intégré une Troisième dans une classe spécialisée au CFA de la navigation intérieure, avec une semaine d’école et une semaine sur un bateau, puis je me suis inscrit dès 16 ans en CAP fluvial et j’ai continué en Bac pro fluvial. J’ai intégré CFT en apprentissage. J’ai pu obtenir, pendant mes études, le CRR fluvial (diplôme de VHF) et passer mon permis fluvial.

    À la suite de mon apprentissage, CFT m’a proposé de me garder en CDI et je suis devenu matelot timonier, c’est à dire matelot en formation à la conduite. Ensuite j’ai passé d’autres diplômes et certificat comme le CRR Maritime, le Radar ou encore les ADN pour travailler avec les marchandises dangereuses.

    À ce jour, je suis timonier. Je peux donc conduire les unités de façon autonome sous les ordres de mon capitaine et je souhaite continuer à évoluer dans cette entreprise.


    Le timonier conducteur assure pendant son service la conduite et la manœuvre de l’unité ou du convoi sur lequel il est affecté et relaye ainsi ceux qui en ont la responsabilité permanente. En dehors de ses périodes de conduite, il assure les tâches dévolues aux matelots.


    Découvrez en vidéo le témoignage d’Antonin quand il était matelot timonier :


    Témoignage publié en janvier 2024

    Pour en savoir plus sur le métier de matelot timonier :

    Visitez la page Matelot Transport fluvial, sur le site OPCO Mobilités.

    Transport fluvial  /  Marine - Matelote, bassin du Rhône
    Marine, matelote


    Quel poste occupes-tu ?

    J’occupe le poste de matelot sur l’automoteur Mizar depuis septembre 2023.


    Quelles sont tes principales missions ?

    Mes missions sont variées : je guide le capitaine pour les entrées des écluses et aux appontements, je fais les amarrages, je participe aux opérations commerciales.

    Enfin, j’entretiens le bateau (ponçages, peintures, lavage…) et je participe à la « vie en communauté » (cuisine, ménage…).


    Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?

    Ce que j’aime le plus dans mon travail, c’est la navigation : on se sent libre et tranquille, loin de l’agitation du monde « à terre ». On n’a pas de pression, chacun fait son travail et tout se passe bien.


    Quelles sont les grandes étapes de ton parcours ?

    J’ai baigné dans le milieu depuis ma naissance, car mon père est capitaine sur le Rhône. J’ai tout d’abord voulu m’orienter dans une autre voie : j’ai fait un Bac pro commerce, puis une première année de BTS Tourisme.

    C’est en travaillant un été avec mon père que j’ai découvert le métier et cela m’a beaucoup plu. Je me suis inscrite au CFANI pour faire un Bac pro en apprentissage, que j’ai obtenu en juin 2023.

    J’ai ensuite été embauchée par CFT Gaz en septembre 2023.

    Témoignage publié en mars 2024

    Le matelot exécute toutes les tâches que nécessitent la marche, la conduite, le guidage, la manœuvre et la sécurité du convoi, ainsi que les services de la cargaison et de l’équipage. Il participe aux tâches d'approvisionnement, de préparation de cuisine et d'entretien.

    Transport fluvial  /  Gregory - Mécanicien, bassin du Rhône
    Gregory, Mécanicien


    Quel poste occupes-tu ?

    J’occupe le poste de mécanicien à bord de l’automoteur Eridan. Je navigue sur le Rhône.


    Quelles sont tes principales missions ?

    Mes principales missions sont de deux types. D’une part, j’effectue l’entretien courant sur le moteur principal et ses auxiliaires (pompes par exemple) : vidange, appoint d’huile, changement de filtres GNR, huile et air…

    D’autre part, j’effectue l’entretien à bord en extérieur, comme la peinture et le nettoyage de l’automoteur. Par ailleurs, je passe les commandes et les demandes de travail pour le service technique.


    Qu’est-ce que tu aimes le plus dans ton métier ?

    Ce que j’aime le plus dans mon travail, c’est la diversité de l’entretien sur les différents appareils, sur le pont comme en machine. J’apprécie surtout d’être autonome et polyvalent.


    Quelles sont les grandes étapes de ton parcours ?

    Après une première année de BTS en productique, je me suis engagé dans la Marine nationale. J’y ai obtenu mon brevet élémentaire, un brevet d’aptitude technique en mécanique navale et par la suite, un brevet supérieur de mécanicien naval.

    Grâce à l’obtention de ces différents diplômes, j’ai effectué des missions diverses sur différents bâtiments de la Marine et différentes unités (porte-avion, patrouilleur, marin pompier, commando, etc.).

    Après 20 ans dans la Marine, je suis parti dans la vie civile, j’ai obtenu une certification et j’ai rejoint le service du lamanage de Sète.

    J’ai ensuite décidé à nouveau de changer de carrière : après 10 ans, j’ai quitté le lamanage pour évoluer et apprendre un autre métier, celui du transport fluvial.

    J’ai été embauché à l’âge de 49 ans en tant que matelot garde-moteur chez CFT.

    À ce jour, je suis mécanicien et espère évoluer dans ce domaine et acquérir de nouvelles compétences (SST, survie en mer, ADN chimie, etc.).

    Témoignage publié en mars 2024

    Le mécanicien assure la mise en route des moteurs et leur entretien ainsi que le contrôle des éléments mécaniques, hydrauliques et électriques du bateau. Il est le référent machine auprès de sa hiérarchie et des services techniques à terre lors de ses périodes embarquées. Il est appelé à participer, sur le pont, aux opérations du bord.

    Transport fluvial  /  Mathieu - Matelot timonier
    Mathieu, matelot timonier


    Suite à une Seconde générale effectuée sans grande conviction, je me suis orienté vers un CAP Navigation fluviale : une filière que j’ai découverte en raison de ma localisation proche de la Seine.

    A priori, ce métier paraissait me convenir parfaitement car il offrait une certaine autonomie et liberté, ce qui s’est ensuite confirmé.

    J’ai donc effectué un CAP, une Mention complémentaire et un Bac pro en alternance, passé plusieurs permis et obtenu diverses attestations (code fluvial, permis 180M, ADN, CRR...).

    Mon alternance a eu lieu dans différentes entreprises : j’ai été apprenti chez Lafarge, sur un automoteur artisan et pour finir dans la compagnie CFT qui m’a appris à adopter les bons gestes et fait suivre les bonnes procédures dans toutes les situations à risque, ce qui m’a permis de m’améliorer dans mon travail.

    Pour finir, après deux ans d’apprentissage, j’ai accédé directement à un contrat à durée indéterminée. De plus, CFT m’a déjà accordé une place sur son pousseur école, le pousseur “Obstine”, afin de me former à la conduite des convois 180 m. Encore de belles perspectives d’évolution...

    Témoignage publié en octobre 2018

    Rejoignez le transport maritime

    Rejoignez les compagnies maritimes du groupe Sogestran :

    Pour candidater, rendez-vous sur la page : Compagnie Maritime Nantaise.

    Témoignages de navigants Sogestran Maritime :

    Les hommes et les femmes qui composent nos équipes sont passionnés : découvrez leurs métiers ci-dessous !

    Transport maritime  /  Mathieu - Superviseur flotte
    Mathieu, superviseur flotte


    Issu de la filière O1MM (officier de première classe de la marine marchande), breveté capitaine en 2007, j’effectue, chez différents armateurs, mes embarquements autour du globe. D’abord officier pont puis officier mécanicien, je finis par me spécialiser en tant que second capitaine sur tankers.

    En 2009, je rejoins un armateur français au pétrole en tant que marine superintendant puis capitaine, endossant pour la première fois la casquette de formateur et auditeur. Cette aventure durera 6 ans.

    En 2015, séduit par l’idée d’une vie en pays anglophone et toujours dans une dynamique d’ouverture au monde, je rejoins l’équipe de Rightship à Londres, organisme de vetting spécialisé qui opère pour plus de 250 clients, tant au vrac sec que liquide. Naturellement, on m’assignera au vetting de tankers. Cette expérience, aussi riche soit-elle ne saura me détourner du goût du terrain et du challenge d’être « côté armateur ».

    Un entretien avec le DG de Maritima, quelques années plus tard, me persuadera de rejoindre cet armateur qui opère tant des navires souteurs que des caboteurs. Il saura me faire entrevoir le potentiel d’une compagnie qui sait se renouveler, la diversité de travail que le poste propose et la perspective d’être entendu en tant que manager avec divers challenges à la clé.

    Après presque 12 mois, toutes ces promesses sont tenues et ma motivation à évoluer au sein de Maritima est intacte.

    Témoignage publié en octobre 2018

    Transport maritime  /  Clément - Élève officier
    Clément, élève officier


    Après un baccalauréat scientifique en 2013, j’ai souhaité m’orienter vers la formation d’officier de la marine marchande. Pour cela, j’ai intégré l’École Nationale Supérieure Maritime (ENSM) en 2015, après être passé par une classe préparatoire spécifique.

    La formation que délivre l’ENSM inclut des stages embarqués sur différents navires durant l’ensemble des années de formation.

    J’ai réalisé mes premiers stages embarqués au sein de la Cie Maritime Nantaise, respectivement sur le MN Toucan et le MN Pélican, d’une durée de deux mois chacun. Sur le MN Toucan, j’ai découvert la logistique nécessaire au transport des pièces de la fusée Ariane de l’Europe vers Kourou en Guyane, ainsi que l’ensemble de la conduite du navire, au pont et à la machine. À bord du Pélican, j’ai découvert d’autres aspects techniques portant sur le transport régulier de marchandises roulantes entre l’Espagne et l’Angleterre.

    Entre mai et août 2018, j’ai effectué un embarquement de 3 mois sur le MN Calao, navire spécialisé dans le transport de matériel militaire vers les différentes bases françaises à l’étranger. C’est à la suite de cet embarquement de lieutenant que la Maritime Nantaise m’a proposé de renouveler l’expérience, cette fois sur le Langevin, navire de recherche océanographique basé à Brest, ce qui m’a permis de découvrir un autre type de navigation que celui du transport roulier.

    Et demain ? Je réaliserai mon dernier embarquement d’élève officier sur le MN Tangara, sistership du MN Calao. Cet embarquement me permettra de compléter ma formation en contrat de professionnalisation à la Cie Maritime Nantaise et d’obtenir mon brevet de chef de quart de navire de mer, pour exercer par la suite les fonctions de lieutenant en machine ou au pont sur les navires de la marine marchande... à la Cie Maritime Nantaise, j’espère.

    Les opportunités d’apprentissage et la formation continue sont une vraie réalité au sein du groupe Sogestran.

    Témoignage publié en octobre 2018

    Rejoignez le transport multimodal

    Témoignages d’équipiers du transport multimodal :

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    Transport multimodal  /  Adrien - Responsable douane
    Adrien, responsable douane


    Adrien est arrivé dans l’équipe Sogestran Logistics en tant que responsable douane en mars 2023.

    Depuis, Sogestran Logistics propose de gérer les procédures douanières de ses clients, pour les marchandises entrant ou sortant de l’Union européenne.


    Quel est ton parcours professionnel ?

    Après ma formation de déclarant en douanes (reconversion professionnelle) et une expérience de six ans, j’ai rejoint le groupe Sogestran en mars 2023. Une personne en alternance travaille à mes côtés et bientôt une troisième personne va rejoindre l’équipe.


    Peux-tu nous parler de ton activité ?

    Nous sommes certifiés opérateur économique agréé (OEA), habilités à dédouaner tous types de marchandises. Nous sommes présents sur les principaux ports maritimes français : Dunkerque, Le Havre, Montoire, Bassens, Sète, Fos-Marseille et Nice. Nous sommes aussi présents sur les ports intérieurs fluviaux, en lien avec notre activité de transport fluvial.


    Qu’apprécies-tu dans le groupe ?

    Ce que j’apprécie dans le groupe Sogestran, c’est le côté humain lié au caractère familial du groupe. C’est aussi que le groupe a des ambitions et progresse continuellement.


    Quelles sont, selon toi, les qualités d’un bon déclarant en douane ?

    Pour être un bon déclarant en douane, il faut être rigoureux, respectueux des règles, au fait des dernières évolutions réglementaires, et savoir résister au stress !


    Custom clearance


    Témoignage publié en avril 2024

    Rejoignez les services aux industries

    Témoignages d’équipiers Sogestran Industry :

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    Services aux industries  /  Frédéric - Chef d’atelier
    Frédéric, chef d’atelier


    À Sandouville, près du Havre en Normandie, TSN regroupe toutes les prestations de lavage, réparation et maintenance des citernes routières, conteneurs-citernes sur châssis et IBC.

    Aujourd’hui, nous rencontrons Frédéric qui nous met en lumière l’atelier de réparation et d’entretien des citernes routières et IBC.


    Quel a été ton parcours pour arriver à ton poste aujourd’hui ?

    Je travaille chez TSN depuis plus de vingt ans. J’ai débuté en tant que cariste et opérateur pour les conteneurs citernes sur l’autre site de l’entreprise, à Gonfreville-l’Orcher.

    J’ai évolué au fur et à mesure des années. En 2017, j’ai changé d’activité et de site pour rejoindre l’activité citernes routières et IBC, récemment acquise par le groupe Sogestran. Après avoir été opérateur, je suis devenu responsable d’atelier.


    En quoi consiste la réparation et l’entretien des citernes routières et IBC ?

    Nous avons différentes activités à l’atelier :

    Pour les citernes routières, nous préparons et faisons passer les épreuves réglementaires périodiques, et nous faisons du dépannage et de la réparation (quelle que soit l’avarie : calorifuge accidenté, béquille tordue, enfoncement de cuve…).

    Pour les IBC, nous vérifions, réparons et modifions les équipements. Nous assurons les tests périodiques et nous faisons aussi de la remise en état lorsque l’IBC change d’usage ou de client.


    Un IBC… qu’est-ce que c’est ?

    Un IBC est un petit conteneur métallique entre 250 et 2500 litres. Ce n’est pas connu du grand public car ils sont transportés dans des camions bâchés, on ne les voit donc pas. Et pourtant, on transporte à l’intérieur des produits du quotidien : de l’alimentaire (de la sauce tomate ou de la pulpe de fruits, par exemple), du cosmétique (crèmes et parfums, par exemple), des produits chimiques.


    Quelles sont tes missions en tant que chef d’atelier ?

    Je gère l’atelier, j’organise le travail de chacun des membres de l’équipe et j’assure le relationnel avec les clients, les fournisseurs et les sous-traitants.

    Nous sommes une petite équipe : quatre opérateurs et une assistante administrative travaillent avec moi sous la supervision du responsable des opérations.


    Qu’est ce qui te plait dans ton poste ?

    Ce que j’apprécie dans mon activité, c’est que les interventions sont diversifiées et l’activité n’est jamais monotone. Chaque citerne est différente et, selon le besoin du client, il faut s’adapter, réfléchir à la solution à apporter par rapport au cahier des charges.

    Je n’aime pas la routine et cela me convient donc parfaitement !


    Découvrez en vidéo le poste de Frédéric :


    Témoignage publié en février 2024

    Services aux industries  /  Fanny - Technicienne de traitement des eaux
    Fanny, technicienne de traitement des eaux


    Fanny est technicienne de traitement des eaux chez TSN / Sogestran Industry.

    Arrivée récemment dans l’entreprise, Fanny possède une expérience de plus de 10 ans dans le domaine.

    Sa mission est d’assurer le fonctionnement des systèmes de traitement des eaux usées générées par le lavage des citernes, chez TSN Sandouville et TSN Gonfreville l’Orcher.


    Le circuit de l’eau chez TSN

    Les eaux utilisées pour le lavage des citernes chez TSN Sandouville et TSN Gonfreville l’Orcher sont récupérées et traitées. Objectif : que l’eau ressorte propre, dans le respect de l’arrêté préfectoral, et puisse être rejetée dans le grand canal du Havre.

    Pour cela, les eaux passent par différents types de filtres et subissent un traitement physicochimique, puis un traitement biologique. L’installation traite 48 500 m³ par an (maximum 250 m³ par jour).


    Comment as-tu choisi ce métier ?

    J’ai toujours eu une sensibilité pour l’environnement. J’ai fait un BTS gestion et maîtrise de l’eau en alternance. J’ai l’habitude de dire, de façon caricaturale, que ce qui m’intéresse dans mon métier c’est la goutte d’eau ! Comment une goutte d’eau est utilisée dans une industrie et comment elle est traitée pour ressortir propre.

    Je pense que mon métier est un métier d’avenir, car l’eau est une denrée qui se raréfie, et traiter les eaux usées est non seulement une obligation légale, mais c’est aussi une obligation envers les générations futures.


    Autonomie, polyvalence

    Ce que j’apprécie dans mon métier, c’est d’être autonome sur mon poste, et aussi d’être polyvalente : faire les prélèvements et les analyses, passer les commandes, gérer le traitement dans les bassins biologiques…


    Sens de l’observation

    Je dois être très observatrice : je surveille l’écran de supervision qui me donne des indications sur l’ensemble des installations, mais je suis aussi en alerte pour contrôler visuellement les différents équipements. C’est en combinant les deux que je peux identifier la source d’un dysfonctionnement.


    Attention permanente à la sécurité

    J’apporte une attention toute particulière à la sécurité. Je travaille en bleu et en complément, à chaque tâche effectuée, je réfléchis aux EPI que je dois porter pour être en sécurité (lunettes de protection, gants…).


    Place des femmes dans l’industrie

    Je ne croise pas beaucoup de femmes dans mon métier. Pourtant, elles y ont autant leur place que les hommes ! Mon entreprise TSN et les autres filiales Sogestran Industry recrutent, par exemple, des caristes, des chaudronniers... Ces métiers se conjuguent aussi au féminin !

    Je ne cache pas que dans mon parcours, j’ai dû parfois montrer davantage ma motivation et faire davantage mes preuves qu’un homme. Mais plus nous serons nombreuses et moins ce sera le cas.


    TSN compte trois techniciens de traitement des eaux qui travaillent en quart : 6h/13h, 8h/15h ou 13h/20h.


    Témoignage publié en mars 2024

    Services aux industries  /  Nizar - Cariste polyvalent
    Nizar, cariste polyvalent


    Nizar est cariste polyvalent chez CARE depuis 2019

    À Rogerville, près du Havre, CARE est le premier centre portuaire de stockage et de distribution de produits chimiques dangereux ouvert en France (quel que soit leur conditionnement : fûts, IBC, big-bags, conteneurs…).


    Bonjour Nizar, peux-tu présenter ton parcours professionnel ?

    Je travaille chez CARE depuis 2019. Avant, j’ai travaillé en production automobile et en logistique. Je voulais évoluer, alors j’ai  passé mon CACES, certificat d'aptitude à la conduite en sécurité, ce qui m’a permis d’entrer chez CARE.


    Quelles sont tes missions en tant que cariste polyvalent ?

    J’ai plusieurs missions.

    À l'arrivée des camions, je décharge les marchandises et vérifie les quantités. Je les transporte à l'aide de chariots élévateurs (ou de reach stackers) et les range, en scannant les codes-barres, à une place définie. Les marchandises seront ensuite déstockées en fonction des besoins.

    Lorsqu’une commande client arrive, je vais chercher les marchandises stockées, puis je les scanne et je les prépare pour l'expédition (selon les besoins, je peux mettre sur palette, filmer, procéder à un ré-étiquetage selon les demandes spécifiques des clients) et je contrôle le tout avant le départ. Je charge ensuite les camions.

    Sur l’aire de stockage conteneurs : une commande arrive sur une tablette qui nous permet de charger le conteneur demandé et faire l’interchange en relation avec le service administratif.

    Ce qui me plait, c’est que j’effectue des missions variées, ce n’est pas un métier monotone.

    Chez Care, j’ai bénéficié de formations en interne pour obtenir de nouveaux niveaux de CACES qui certifient ma conduite de plusieurs types de chariots (chariots tracteurs et à plateau porteur, chariots élévateurs de capacité supérieure ou égale à six tonnes…) et des formations liées aux risques chimiques, à l’application des procédures d’urgence, SST.


    Quel est ton rythme de travail ?

    Je travaille quatre jours par semaine, soit de 9h à 18h30, soit de 7h à 16h30.


    Quelles qualités faut-il avoir pour être un bon cariste ?

    Expérience et rigueur sont deux qualités pour être un bon cariste polyvalent.

    Bien sûr, il faut savoir piloter les chariots élévateurs et les reach stackers, mais je veux souligner qu’il faut être rigoureux.

    D’abord car nous devons être méticuleux lors de la réception et du rangement des marchandises, et lors de la préparation et l’étiquetage des commandes.

    Ensuite, car il faut travailler en toute sécurité  :

    • pour soi (j’ai été formé aux risques chimiques, il faut par exemple porter des équipements de sécurité) ;
    • et pour les autres (il faut conduire prudemment et faire attention à tout ce qui se passe autour de nous, il ne faut pas aller vite à tout prix : on manipule des produits chimiques dangereux, il faut prendre le temps de le faire correctement).


    Fabrice, le responsable de Nizar, complète ces qualités : Pour être un bon cariste polyvalent, il faut de l’expérience, de la rigueur, de la dextérité dans la conduite des chariots élévateurs.

    Il faut également un bon savoir-être pour travailler en équipe et une vigilance accrue pour la manutention des produits chimiques.


    Nizar, cariste polyvalent
    Nizar, cariste polyvalent
    Nizar, cariste polyvalent
    Nizar, cariste polyvalent
    Nizar, cariste polyvalent

    Photos © Sogestran Group & Samuel Salamagnon


    Témoignage publié en avril 2024

    Services aux industries  /  Martin - Technicien wagon
    Martin, technicien wagon


    Martin travaille depuis 2018 chez Freeman Industrie, il est aujourd’hui technicien wagon.

    À Béziers, Freeman Industrie est un atelier de révision, de réparation, de transformation et de reconditionnement de wagons de fret.

    Le site dispose d’une capacité de stockage de 450 wagons sur 4,5 hectares.

    Objectif : 750 wagons révisés en 2024.

    Des équipes mobiles peuvent intervenir sur site en Nouvelle Aquitaine, Occitanie et Normandie.

    L’entreprise réalise également les épreuves réglementaires sur les citernes routières et dispose d’un atelier de traitement de surface de grande capacité (grenaillage et peinture).


    Bonjour Martin, peux-tu nous présenter ton parcours professionnel ?

    Avant d’arriver dans le groupe Sogestran, j’ai touché à plusieurs secteurs : vigne, apiculture, préparation de commande.

    Je suis arrivé chez Freeman Industrie à 22 ans et j’ai été formé par les anciens sur différents postes (retrofit, révision…). J’ai ensuite fait partie des équipes mobiles à Bordeaux. Depuis quatre ans, je suis dans les OV.


    En quoi consiste ton métier ?

    Je m’occupe de la citerne une fois qu’elle a été nettoyée et dégazée. Je fais un check-up complet : je contrôle (les joints, les vis, les brides, l’étanchéité) et je répare selon les besoins. À la fin, je fais passer les épreuves réglementaires périodiques.


    Combien de temps passes-tu sur un wagon ?

    Pour une grosse révision, effectuée tous les huit ans sur un wagon, je passe entre 4h et 6h. Le wagon est ensuite entièrement rempli d’eau et contrôlé par un organisme extérieur.


    Qu’est ce qui te plaît dans ton métier ?

    En premier lieu c’est l’ambiance ! Nous sommes une quarantaine de collègues et l’ambiance est bonne. C’est important pour donner envie de venir le matin et c’est très important pour nos métiers : j’ai été formé par mon chef, il m’a transmis son savoir-faire acquis pendant des années.

    Je travaille maintenant en binôme avec un collègue très fort en mécanique. On se complète, on se comprend vite, on a la satisfaction de réussir des réparations spécifiques qui demandent un peu d’ingéniosité.

    Autre point essentiel pour moi : je ne m’ennuie jamais. Chaque wagon est différent, ce n’est jamais la routine.


    Quelles sont les compétences requises pour faire ton travail ?

    Il faut des connaissances en mécanique, de la logique et de la force.


    Découvrez en vidéo un aperçu du poste de Martin :


    Témoignage publié en juillet 2024

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